Paroles, paroles
Quand on sait ce que vaut la parole de Sarkozy le petit Cesar (voir la privatisation de GDF), on hallucine devant le cynisme du personnage.
Sachant qu'il ne peut s'opposer à une "aventure personnelle" d'un de ses rivaux, Nicolas Sarkozy tient au moins à en pointer les "contradictions".
Si on voulait pointer les "contradictions" du dit Sarko, ce ne serait pas une sinécure. Mais comme la bonne foi ne semble pas l'encombrer, on ne s'en donnera pas la peine.